Jour de brouillard. Vapeurs évanescentes, squelettes décharnés faiblement éclairés par le soleil, disque argenté perçant la brume.
Ombres chinoises, ou estampes japonaises?
Et puis soudain, le soleil perce. D’abord faiblement, avec de vagues teintes pastel, puis les formes se dessinent, les lointains se dégagent, les couleurs éclatent enfin. Mais cela ne dure pas longtemps.
Déjà la brume redescend lourdement et tout se fond dans une atmosphère opaque et nébuleuse. Silence…
Monde de rosée
je pensait bien que ce monde était de rosée
et pourtant, et pourtant…..
Superbes images Jean, mais cela me fait penser à l’éphémère de la vie ici-bas. Il y a un Haiku qui convient :
Monde de rosée
je pensait bien que ce monde était de rosée
et pourtant, et pourtant
Amicalement. François-Claude
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Très beau Haiku, je te l’ai piqué pour l’ajouter
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